Bianca Clapot, 26 ans d’expertise en recommandation d’affaires : 3000 entreprises accompagnées, ½ milliard de CA généré par … le bouche à oreille !
« Femme d’affaires et de réseaux », comme elle se définit sur son profil LinkedIn qui réunit plus de 15 000 abonnés, Bianca est avant tout une serial entrepreneuse, puisqu’elle est déjà dirigeante de deux entreprises sur inovallée, L’Entregent et Ennéagone et qu’elle envisage de créer une troisième entité sur la technopole : « dynamique d’alliances ». Femme d’affaires, elle l’est donc sans aucun doute.
Mais c’est aussi et surtout une femme de réseau, et pas n’importe quel réseau : car bien au-delà des petits fours et de la convivialité qui nourrissent nos besoins humains de sociabilité, Bianca anime depuis plus de 26 ans les communautés régionales du leader international de la recommandation d’affaires.
Du réseau oui, mais du réseau d’affaires générateur de business !
D’ailleurs en 19 ans, et grâce aux exigences d’une méthodologie éprouvée et la rigueur d’un cadre structuré et structurant, dans le respect de la bienveillance et de la ré-humanisation des relations, Bianca a permis aux + 3000 entrepreneurs accompagnés de générer plus d’un demi-milliard de CA, et ce exclusivement par la recommandation d’affaires !
Un vecteur largement sous-exploité au regard des efforts humains et financiers déployés aujourd’hui en prospection commerciale et marketing digital, alors même que le bouche à oreille est sans aucun doute possible le plus vieux réflexe du monde, au travail comme à la maison …
Du networking social au réseau d’affaires structuré, un changement de paradigme qui peut changer la donne, mais un métier à part entière pour lequel se former est nécessaire
« Tout le monde fait du réseau aujourd’hui, mais personne ne crée ses réseaux », souligne Bianca avant de poursuivre « tous les dirigeants pressentent que le réseau est essentiel pour développer ses affaires. Pour autant, seules 3% des entreprises s’attachent à le structurer avec une approche stratégique et un véritable pilotage opérationnel, incluant la mesure des résultats, comme elles le font sur tous les autres pans de leur activité ! »
Il faut dire que l’humain est un animal étrange et surtout complexe, dont le cerveau semble structurellement social, si l’on en croit de nombreux travaux de neurosciences, dont ceux de Matthew D. Lieberman, neuroscientifique social à l’Université de Californie, qui décrit dans ses travaux, preuves neurologiques à l’appui, pourquoi notre cerveau est conditionné pour développer du lien social source : https://deslivrespoursenrichir.fr/why-our-brains-are-wired-to-connect-pourquoi-les-cerveaux-sont-faits-pour-etre-connecte/
C’est sans doute la raison pour laquelle nous consacrons tous tant de temps et d’énergie au réseautage professionnel sous toutes ses formes, sans même conscientiser que derrière le « prétexte » business, nous satisfaisons d’abord et surtout nos besoins d’interactions.
« En tant qu’entreprise, si nous calculions l’impact financier réel du temps, des frais de déplacement et d’inscription consacrés au networking, il est absolument certain que nous optimiserions notre présence et mesurerions l’impact business et le ROI de chaque événement », souligne Bianca avant de poursuivre : « Mais en tant qu’humain, nous sommes biaisés par le plaisir que nous procurent les interactions, indépendamment de leur impact économique, et c’est d’abord sur une échelle émotionnelle que nous mesurons inconsciemment nos investissements sociaux ».
L’ambition de Dynamiques d’Alliances : joindre l’utile à l’agréable, ou comment transformer ses interactions sociales en génération de leads et de valeur
Forte de son expérience au sein du leader international de la recommandation, mais aussi de ses recherches personnelles sur le sujet, Bianca a su tirer le meilleur de tous les modèles pour définir et structurer une approche holistique du sujet (qui comme tout ce qui touche à l’humain est intrinsèquement complexe) et mettre en place une méthodologie unique pour remettre le business au cœur de ses interactions sociales professionnelles.
Son objectif : permettre aux dirigeants de redevenir pilotes de leur stratégie de réseaux et de leur flux de recommandation.
Comment ? En leur permettant d’acquérir les bons leviers d’alliance pour faire vivre et développer leur entreprise. Affaire à suivre…