Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Waga Energy accélère son développement avec 6 Wagabox en exploitation en France, et des projets de développement à l’international

A VPN is an essential component of IT security, whether you’re just starting a business or are already up and running. Most business interactions and transactions happen online and VPN

2017 : 2 premières unités en exploitation

Il aura fallu dix ans aux fondateurs de Waga Energy pour mettre au point la technologie qui permet de transformer le gaz émis par les déchets stockés en biométhane. Aujourd’hui, les résultats sont là : « En combinant filtration par membranes et distillation cryogénique, nous parvenons à extraire 90% du méthane contenu dans le biogaz avec un niveau de pureté suffisant pour pouvoir le réinjecter directement dans les réseaux de distribution », explique Mathieu Lefebvre, cofondateur de la start-up grenobloise. Un rendement trois fois supérieur aux systèmes de cogénération existants.
En 2017, Waga Energy installait ses deux premières unités et injectait son biométhane sur le réseau de GRDF sur deux sites de stockage des déchets:  celui de Coved (groupe Paprec) à Saint-Florentin (Yonne) en février, puis celui de Suez à Saint-Maximin (Oise) en juin.

2018 : 12 millions d’euros investis pour 4 nouvelles Wagabox en France

En 2018, Waga Energy est résolument passée à la vitesse supérieure en engageant près de 12 millions d’euros dans la construction de quatre nouvelles unités. Waga Energy finance en effet la construction des Wagabox, et se rémunère en vendant du biométhane. Les recettes sont partagées avec l’exploitant du site.
Mai : Pavie
La première de ces nouvelles unités a démarré en mai dernier sur le site de stockage de Pavie (Gers), exploité par le syndicat mixte Trigone.  « La troisième Wagabox est entrée en service moins d’un an après la signature du contrat. Cela témoigne de notre maîtrise industrielle et de notre volonté d’agir vite dans un contexte d’urgence climatique ».
Novembre : Saint-Palais et Gueltas
Le dernier trimestre a été particulièrement chargé. Le 6 novembre, Waga Energy a mis en service une quatrième Wagabox sur le site Veolia de Saint-Palais dans le Cher. Il s’agit du premier contrat passé par Waga Energy avec le géant français de l’eau et des déchets.
La semaine suivante, Waga Energy démarrait une nouvelle unité sur le site Suez de Gueltas (Morbihan). Sa capacité suffira à alimenter l’ensemble des foyers des bassins de Noyal et Pontivy pendant l’été.
Décembre : Chevilly
Une sixième Wagabox sera mise en service le 20 décembre à Chevilly dans le Loiret, sur un troisième site de Suez.
Avec six Wagabox en exploitation, Waga Energy dispose désormais d’une capacité de production supérieure à 100 GWh/an. De quoi alimenter environ 16 000 foyers (ou un millier de bus) en gaz renouvelable, tout en évitant l’émission de 20 000 tonnes de dioxyde de carbone (CO2) à l’atmosphère.

2019 : cap sur l’international

Alors que d’autres projets sont en cours en France, Waga Energy prépare le déploiement international de sa technologie, notamment en Europe et en Amérique du Nord. Et l’ambition est de taille puisque Waga Energy vise l’installation d’une centaine de Wagabox dans le monde d’ici 2025… Pour faire face à ces challenges, la startup finalise un troisième tour de table et poursuit le renforcement de son équipe qui compte actuellement 23 collaborateurs.

Besoin d'un accompagnement ?